0

Votre panier

TOTAL HT
TOTAL TTC
Payer
fr en

GALERIE PHOTO

Guinée
Léssette Zolou, 17 ans, et Cé Gbérégbe, 16 ans, sont frères et sœurs, survivants du virus Ebola. Ils bénéficient tous deux d'un soutien médical et psychosocial de la part d'ALIMA.
Tonhon Bolamou, survivante du virus Ebola, parle au Dr Ivonne Loua d'ALIMA. Tonhon bénéficie d'un traitement médical fourni par ALIMA.
Tonhon Bolamou est une survivante du virus Ebola qui a été traitée au centre de traitement Ebola géré par l'ALIMA en avril 2016.
Soua Nianté, 52 ans, survivante du virus Ebola, reçoit soutien médical et psychosocial d'ALIMA. ALIMA fournit soutien médical et psychosocial à 114 survivants d'Ebola dans la région de N'Zérékoré.
Andrea Conde, bénéficiaire ALIMA et survivante du virus Ebola.
ALIMA soutient les efforts locaux pour traiter les enfants infectés par la rougeole lors d'une épidémie récente et en cours à N'Zérékoré.
ALIMA soutient les efforts locaux à N'Zérékoré pour vacciner les enfants.
Amadou Camara, survivant du virus Ebola, devant sa maison à Koropara. Amadou bénéficie d'un traitement médical fourni par ALIMA.
Tomou Dounamou, 16 ans, est un survivant du virus Ebola qui bénéficie d'un traitement médical fourni par ALIMA.
ALIMA travaille avec les autorités locales de l'hôpital régional de N'Zérékoré pour traiter les patients atteints de rougeole en pleine épidémie. ALIMA travaille dans la région depuis décembre 2014.
Mère et enfant à l’Hôpital Régional de N'Zérékoré. En début de 2017, plus de 250 enfants infectés par la rougeole ont été signalés en moins de deux mois.
ALIMA travaille avec les autorités locales de l'hôpital régional de N'Zérékoré pour traiter les patients atteints de rougeole en pleine épidémie. ALIMA travaille dans la région depuis décembre 2014.
ALIMA travaille dans la région de N'Zérékoré depuis décembre 2014.
Equipe ALIMA à l’Hôpital Régional de N'Zérékoré.
ALIMA travaille avec les autorités locales de l'hôpital régional de N'Zérékoré pour traiter les patients atteints de rougeole en pleine épidémie.

Prise en charge d'Ebola et de la rougeole, N'zérékoré

© Ricci Shryock 2017

Le contexte

Les taux de mortalité maternelle (550 pour 1 000 naissances vivantes) et infantile (88 pour 1 000 naissances vivantes) sont très élevés en Guinée. Cette mortalité résulte de différents facteurs comme l’accès limité et la faible qualité des soins médicaux, auxquels s’ajoutent une forte prévalence du paludisme et une faible couverture vaccinale sur l’ensemble du pays.
L’ampleur de l’épidémie d’Ebola qui a sévi en Afrique de l’Ouest entre 2014 et 2016, avec 3 804 personnes infectées, dont 2 536 décès en Guinée, a mis en évidence les faiblesses du système de surveillance épidémiologique et la capacité du système de santé national à réagir face aux épidémies.
L’épidémie d’Ebola a, par ailleurs, provoqué une méfiance de la population vis-à-vis des structures de santé, du fait qu’elles accueillent des patients suspects ou confirmés d’Ebola. La peur d’être contaminé a entraîné une chute de fréquentation des structures de soins et a ainsi exposé les populations à une plus grande vulnérabilité, notamment aux maladies infectieuses.

CHIFFRES-CLÉS PAYS
  • 12,4 millions d’habitants (2018)
  • 3 804 cas de personnes infectées par Ebola (de 2014 à 2016)
  • 2 536 décès dûs à Ebola (de 2014 à 2016)

CHIFFRES-CLÉS ALIMA (2019)
  • 2 330 personnes suivies dans le cadre de l’essai randomisé de stratégies vaccinales contre Ebola (PREVAC)
  • 12 984 échantillons de sang prélevés
  • 8 599 consultations ambulatoires pour les participants à l’essai PREVAC et leurs ayant-droit

Témoignage du Président d’ALIMA Docteur Richard Kojan

“Avant la création de la CUBE, le patient Ebola devait rester seul, sans surveillance médicale, sans sa famille. La situation était difficile pour les patients, les agents de santé, les familles et les communautés. Grâce à la CUBE, le patient atteint du virus Ebola peut passer du temps avec sa famille. Il peut garder contact avec son entourage, sa communauté. La CUBE change la vie des patients atteints d’Ebola.”